Gendarmerie Nationale

Notre engagement, votre sécurité !

Type d'entreprise

Association / Institution publique / Laboratoire


Secteur

Défense


Localisation

4 rue Claude-Bernard 92130 Issy-les-Moulineaux

Actualités (12)

  • Autre

    « 4L bleues » : des officiers-élèves de la gendarmerie s’associent autour du 4L Trophy

    Depuis un an, dix élèves de la promotion Ceux de Stonne, de l’Académie militaire de la gendarmerie nationale (AMGN), se sont lancés dans la préparation du raid automobile solidaire du 4L Trophy, avec la voiture de leurs « anciens ». Pour porter le projet et le transmettre à la promotion suivante, ils ont créé une association baptisée 4L bleues. Préparer le 4L Trophy dans toutes ses dimensions, le vivre, puis transmettre à la promotion suivante un véhicule prêt à repartir ainsi que des fonds suffisants, tels sont les objectifs de l’association « 4L bleues », créée en 2024 par des élèves-officiers du deuxième groupement, promotion Ceux de Stonne, de l’Académie militaire de la gendarmerie nationale (AMGN). Aujourd’hui officiers-élèves dans leur seconde année de scolarité, ils sont dans la dernière ligne droite, avec un départ de l’Académie prévu le 17 février prochain. 4L bleues : une association pour structurer et transmettre « Nous avons créé l’association « 4L bleues » au début de l’année 2024, au moment où nous avons repris le projet, explique le lieutenant Corentin, président de l’association, souriant et posé. Nos prédécesseurs étaient partis sans s’entourer de ce cadre, et nous avons souhaité construire quelque chose de plus pérenne que l’on puisse transmettre à nos successeurs, que ce soit au niveau de la structure ou de la reconnaissance par les différents partenaires. Cela nous permet également de leur céder la voiture dans un cadre bien précis. Cela présente aussi l’intérêt de les impliquer directement dans le projet, en les faisant entrer dans l’association le plus tôt possible. Nous sommes vraiment dans une démarche de pérennisation et de transmission à nos filleuls. » […] © Marie M C’est tout d’abord grâce à l’aide de leur promotion, qui a récolté 4 000 euros, que l’équipe a pu racheter la voiture à leurs anciens, pour la somme de 3 000 euros. […] Unis par la curiosité et l’enthousiasme S’il faut naturellement une bonne dose de motivation (ce dont l’équipe ne manque pas) pour mener à bien ce type de projet en parallèle d’une scolarité pour le moins exigeante, chacun apporte sa pierre à l’édifice à travers les missions qui lui sont confiées. Les profils et les recrutements sont variés et complémentaires, permettant de former une équipe qui dégage une certaine alchimie. Le lieutenant Corentin, président de 4L bleues, a 27 ans. Il est issu du recrutement scientifique. « Nos anciens ont souhaité passer le flambeau à une nouvelle équipe, et pour ma part, j’étais curieux. Ce qui m’a convaincu, c’est qu’alors même que de l’extérieur tout était à peu près nickel, quand ils ont ouvert le capot de la voiture j’ai vu que tout tenait par des serre-flex ! C’était un projet suffisamment intéressant pour que j’aie envie de m’y investir. J’ai un certain attrait pour la mécanique, mais c’est le côté décalé qui m’a fait basculer ! » […] Concilier avec la scolarité  Comme ils ne sont plus à un défi près, les trophistes ont récupéré la voiture et monté l’association un an avant le départ, alors que la plupart des participants se préparent généralement pendant deux ans. Le défi est donc double, puisqu'ils concilient ce projet avec une scolarité dense à l’AMGN, s’y consacrant entièrement sur leur temps libre.

  • Autre

    Enlèvement de David Balland : un engagement complet de la gendarmerie nationale

    Le 21 janvier 2025, au petit matin, David Balland, co-fondateur d’une start-up française spécialisée dans les crypto-monnaies, est enlevé avec sa compagne à leur domicile, dans le Cher. Une rançon est demandée. En moins de trois jours, les différentes unités de la gendarmerie mobilisées sur cette affaire conduisent les investigations, retrouvent les deux conjoints et interpellent dix malfaiteurs. Le matin du 21 janvier 2025, un couple est enlevé à son domicile, à Vierzon, dans le Cher, par une équipe de malfaiteurs. David Balland est le co-fondateur de Ledger, une entreprise française spécialisée dans les crypto-monnaies. Les deux victimes sont aussitôt séparées et conduites en des lieux différents. Les ravisseurs contactent alors l’un des autres co-fondateurs de la start-up pour obtenir une rançon en monnaie électronique. La gendarmerie est avertie de la séquestration en cours, et 50 militaires du Groupement de gendarmerie départementale du Cher (GGD 18) sont immédiatement déployés afin de retrouver les victimes, mais aussi de protéger d’autres cibles potentielles. Dans le même temps, une enquête est ouverte auprès du parquet de Bourges, pour des faits d’enlèvement et de séquestration. La Section de recherches (S.R.) de Bourges dirige l’enquête et commence dès lors des investigations minutieuses afin de localiser les victimes. Une course contre la montre s’engage pour les militaires de la gendarmerie. […] Engagement des moyens nationaux et complémentarité de la gendarmerie L’enquête initiale est rapidement reprise par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (JUNALCO) du parquet de Paris, et les S.R. d’Orléans et de Paris sont à leur tour engagées dans les recherches. Ce sont dès lors des dizaines d’enquêteurs qui sont investis pour retrouver le couple. Un contrôle mené par une unité de la police nationale à Bourges apporte un renseignement décisif : l’individu contrôlé étant en lien avec les ravisseurs, cela permet d’orienter les investigations des gendarmes. En complément des unités de la région de gendarmerie Centre-Val-de-Loire et des enquêteurs des S.R., plusieurs unités nationales sont engagées pour apporter leur concours. Une quinzaine de cyber-enquêteurs de l’Unité nationale cyber (UNC), 90 militaires du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) et des gendarmes de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) viennent ainsi en renfort. Le travail conjoint des unités permet de procéder à une première interpellation, permettant de localiser le lieu où est retenu David Balland, dans le secteur de Châteauroux. Le GIGN y déclenche un premier assaut dans l’après-midi du 22 janvier. Deux ravisseurs sont interpellés et la victime libérée. Dans la nuit du 22 au 23 janvier, une quatrième interpellation est effectuée. « Le recoupement du travail réalisé en matière de surveillance, d'audition, de téléphonie et sur les véhicules, a permis de localiser les lieux successifs de séquestration de la seconde victime, a précisé Laure Beccuau, procureure de la République à la JUNALCO, lors de la même conférence de presse. Ce jour [23 janvier, NDLR], en début d'après-midi, les gendarmes ont libéré celle-ci alors qu'elle se trouvait ligotée dans un véhicule à Étampes. Cette seconde intervention du GIGN a permis six nouvelles interpellations. […] Ce sont donc dix personnes qui sont en garde à vue. Il s'agit de neuf hommes et d'une femme, âgés d'entre 20 et 40 ans, originaires de villes différentes, pour la plupart déjà connus de la justice. » Mise en œuvre de tous les savoir-faire de la gendarmerie : une véritable force de frappe […] L’expertise du GIGN dans les prises d’otages et les interpellations d’individus dangereux trouve toute sa mesure dans la gestion d’un enlèvement. « Un enlèvement est toujours extrêmement complexe, parce que c’est en fait une prise d'otage, impliquant l’emploi de tous les savoir-faire en la matière : négociation, capacités de renseignement, capacités d'interpellation, etc., a expliqué le général de division Ghislain Réty, commandant le GIGN. Mais c'est une prise d'otage non localisée. Il faut donc y agréger toutes les capacités d'acquisition du renseignement, de localisation, pour savoir où sont les preneurs d'otage, et plus particulièrement où sont les victimes. » Photo d'illustration © SIRPA-G - MDC B. Lapointe Une situation d’autant plus complexe dans le cas présent que les victimes étaient retenues sur deux sites différents, ce qui a impliqué une coordination très précise dans les actions menées. « Les militaires du GIGN ont été mobilisés en appui et en complémentarité de tous les moyens de la gendarmerie, des moyens cyber, des moyens aériens, des moyens d'enquêteurs, poursuit le chef du GIGN. Notre priorité a été principalement la gestion de crise au sens large du terme, et la négociation, qui est vraiment un outil tactique. L’objectif, c'est d'avoir des preuves de vie, d'avoir des garanties que si quelques euros sont versés, on puisse éventuellement les récupérer, et en tout cas, que ce sera en contrepartie de la libération d'un otage. » La magistrate de la JUNALCO a d’ailleurs précisé que, dans le cadre de la négociation dirigée par les gendarmes, une partie de la rançon a été versée, et que la quasi-totalité de ces crypto-monnaies a été tracée, gelée et saisie. Concernant le volet cyber des investigations, l’Unité nationale cyber a déployé une quinzaine de ses gendarmes spécialistes, en appui de la S.R. de Bourges.  « Notre action dans ce dossier a été double, a indiqué le colonel Hervé Pétry, commandant l’UNC. D'abord par une force de projection sur le terrain, pour appuyer les investigations par rapport à l'ensemble des supports numériques. Ces derniers ont été saisis de manière à geler la preuve, extraire les données, les traiter, les exploiter pour récupérer un maximum de preuves et d'informations nous permettant d'identifier et de localiser les individus pour retrouver les victimes. Nous avons pu progresser et transmettre les informations à la fois aux enquêteurs de la S.R. de Bourges et au GIGN, pour tout ce qui concerne le dispositif d'intervention et de recherches opérationnelles. Le deuxième aspect concerne des recherches effectuées à l'UNC, dont le siège est à Pontoise, en matière cette fois de cryptoactifs, d'identification, de traçabilité et de saisie. » Les militaires de l’IRCGN sont également venus en appui pour la prise en compte de la scène de crime, afin d’y prélever, puis d’analyser tous les indices possibles, en vue de la réussite de l’opération. Cette coordination des forces et de leurs spécificités a été déterminante, ainsi que l’a précisé le général de division Frédéric Bonneval, adjoint au Directeur des opérations et de l’emploi (DOE) de la gendarmerie nationale.  « Je voudrais souligner la mobilisation collective de l'Institution. Au total, outre les gendarmes locaux, les sections de recherches qui ont été mobilisées, les effectifs du GIGN, les spécialistes de cybercriminalité et ceux de l'IRCGN, […] ce sont plus de 230 gendarmes qui ont été tout particulièrement mobilisés pour obtenir le résultat positif que nous pouvons saluer ce soir. » […] Retrouvez l'article dans son intégralité sur Gendinfo. Crédits photo © SIRPA-G - MDC B. Lapointe

  • Rencontre

    « C’est un peu le GIGN vu de l’intérieur » : entretien avec le général de division Réty sur le film Ad Vitam

    De nombreuses scènes du film Ad Vitam, avec Guillaume Canet, également co-scénariste, qui est sorti sur Netflix vendredi 10 janvier 2025, ont été tournées au sein même du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). Le commandant de l’unité, le général de division Ghislain Réty, nous explique pourquoi et dans quelles conditions le Groupe a collaboré à la réalisation de ce film. Mon général, beaucoup de films ont déjà été réalisés sur le GIGN. Pourquoi avoir accepté de participer à ce projet ? Ce film, c’est un peu le GIGN vu de l’intérieur. Avec les problématiques d’équilibres internes, de vie de famille, de vie en collectivité. C’est ce qui était intéressant. Il y a eu, c’est vrai, des films sur les missions célèbres du Groupe, comme la prise d’otages de Djibouti (L’intervention, 2018), celle du vol Air France sur l’aéroport de Marignane (L’assaut, 2011), ou encore celle d’Ouvéa en Nouvelle-Calédonie (L’Ordre et la Morale, 2011). Mais, à ma connaissance, c’est le seul film qui traduit assez fidèlement ce qu’est la vie au GIGN, en dehors des entraînements et des opérations. C’est ce qui m’a séduit. Le fait de faire découvrir une autre facette, peut-être la plus importante, parce qu’elle concerne l’humain. L’humain qui ensuite est envoyé en mission, mais qui commence dans les casernes, dans les familles, avec les problèmes qui peuvent exister dans un couple, ou avec le voisinage. Je connais à peu près tous les films de Guillaume Canet, son écriture, et je savais qu’il pouvait réussir cette approche d’une collectivité, comme on peut le voir dans Les petits mouchoirs, par exemple. Pour parvenir à obtenir ce réalisme, il a fallu que vous ouvriez grand les portes du GIGN, comme jamais auparavant. Pouvez-vous nous raconter ce tournage et les coulisses ? De nombreuses scènes ne pouvaient effectivement être tournées qu’au sein du GIGN, pour être les plus réalistes possible. On ne pouvait pas les reproduire en studio, parce qu’elles comprenaient des éléments caractéristiques du Groupe. Donc, en lien avec le Service d'information et de relations publiques des armées - gendarmerie (SIRPA-G), on a validé ce principe d’un tournage au GIGN. Au début, on avait plutôt imaginé des petites équipes, mais on s’est rapidement aperçu qu’on aurait eu un résultat assez médiocre. J’ai donc validé une montée en puissance, qui était le prix à payer pour avoir le maximum de réalisme et de qualité. Quand on accepte un film pour Netflix, forcément, on ne peut pas s’attendre à avoir quatre personnes dans une caserne ! Ce sont des équipes techniques de 70 à 80 personnes, des vrais experts. C’était très enrichissant d’ailleurs de les voir à l’œuvre. Quand on a tourné les scènes dans mon bureau, par exemple, il y avait des techniciens sur des grues derrière les vitres, pour les éclairages. […] Avez-vous refusé le tournage de certaines scènes ? Disons qu’il y a eu deux cas de figure. Soit on leur expliquait que telle ou telle scène ne se passerait pas comme ça dans la réalité, et comme Guillaume Canet voulait un film qui soit le plus réaliste possible, il en tenait compte. Soit, au contraire, que ça se passerait effectivement comme ça, mais que je ne voulais pas qu’on le montre, pour différentes raisons. Et cela aussi, Guillaume l’a parfaitement accepté, parce qu’il comprenait qu’on veuille préserver notre confidentialité, et que certaines choses n’avaient pas vocation à être exposées au grand public. Mais, bien que ça reste une fiction, on est allé assez loin sur les traditions et la vie au sein de l’unité. On peut presque parler d’une coproduction Netflix - GIGN ! Il faut rester modeste ! Mais j’ai eu un droit de regard sur toutes les scènes, ce qui est très bien, et parmi ceux qui ont participé à la rédaction du scénario, il y a aussi un ancien du GIGN, David Corona, que Guillaume connaissait depuis plusieurs années. Quelle était votre motivation pour avoir accepté de collaborer à ce genre de film, un film d’action grand public ? Était-ce pour faire connaître encore un peu plus le GIGN ? Pour attirer éventuellement des candidats ? Non, je n’ai aucun problème de recrutement, et je ne compte pas sur ce film pour cela. Je sais que Top Gun a eu des conséquences positives pour l’armée de l’Air, que Le bureau des légendes a fait beaucoup pour la DGSE, mais ce n’était pas le but. En fait, on avait deux options. On savait que le film serait réalisé et qu’il sortirait. Soit on avançait avec eux, on les accompagnait, et le film serait le plus fidèle possible, tout en nous permettant de fixer des limites. Soit ils le faisaient sans nous, et nous aurions pu être déçus et nous dire que certaines scènes ne correspondaient pas du tout à la réalité. Je ne voulais pas que ce film soit au détriment de l’image du GIGN et de la gendarmerie, dont nous sommes un outil. Donc, on a décidé d’y aller avec eux, et d’y aller jusqu’au bout, sans demi-mesure. Et au final, je pense que ça met le GIGN en valeur, même s’il a fallu faire des compromis, parce que c’est une fiction, un film Netflix qui va être diffusé dans le monde entier, dans 190 pays et dans 47 langues. Il fallait donc satisfaire tous ces publics, asiatique, africain, américain et européen. Retrouvez l'interview en entier sur Gendinfo. Crédits photo @Christophe Brachet @GIGN

  • Recrutement

    Tu veux te challenger ? Deviens officier grâce à la Classe Prépa Talent !

    Tu as un BAC +5 et tu es boursier, ou en droit de l'être ? La gendarmerie nationale t’aide à préparer les concours ! Avec le dispositif d'égalité des chances de la DGAFP, la gendarmerie propose à ceux qui souhaitent devenir officiers de la gendarmerie d'intégrer l'une de ses Classes Prépas Talents (CPT). Tu es intéressé(e) ? Voici les prérequis pour postuler dès maintenant : Avoir entre 18 et 26 ans au plus ; Être de nationalité française ; Avoir obtenu ou être en cours d’obtention d’un BAC +5 (ou équivalent) ; Avoir effectué un parcours universitaire dans des conditions matérielles, géographiques ou familiales méritantes. La sélection n’a lieu qu’une seule fois par an, et c'est dès maintenant pour t'inscrire sur le site La gendarmerie recrute.

  • Autre

    L’Académie militaire de la Gendarmerie nationale : une formation d’excellence

    L’AMGN forme les futurs officiers de la gendarmerie à travers un parcours alliant tradition, rigueur et dépassement de soi ! La formation militaire initiale : des stages intensifs qui forgent la discipline, la rusticité, la cohésion, et l'esprit de commandement ; La cérémonie des sabres : symbole de passage au statut d’officier, marquant la reconnaissance d’une vocation au service de la Nation ; Les missions de terrain : des mises en situation opérationnelles pour préparer à l'exercice des responsabilités. Devenir officier, c'est incarner les valeurs de courage, d'exemplarité et de dévouement pour protéger et servir la Nation. Dernière ligne droite… Les inscriptions aux concours d’officier de la gendarmerie ferment le 10 janvier 2025. Crédits : BCOM AMGN (H.MATECADE)

  • Recrutement

    Avec un BAC +5, deviens officier de gendarmerie !

    Tu es en train de préparer un diplôme BAC + 5 ou tu l’as déjà obtenu ? Deviens officier au sein de la gendarmerie ! Choisir une carrière d’officier, c’est alterner des postes de commandement sur le terrain et de responsabilité de haut niveau. Être officier en gendarmerie, c’est : De la cohésion et la réalisation de soi ; Le sens du service et la reconnaissance de la nation ; Un savant mélange de tradition et d’innovation. Intéressé(e) pour nous rejoindre ? Rends-toi sur le site La gendarmerie recrute pour découvrir les différents concours possibles en fonction de ton profil.

  • Recrutement

    Dernière ligne droite pour t’inscrire aux concours d’officier !

    - Choisis une carrière d’officier au cœur de l’action pour alterner des postes de commandement sur le terrain et de responsabilités de haut niveau en administration. Décideur, à la tête d'une équipe, tu aimes l’action, les responsabilités et le relationnel. - Choisis une carrière d’officier en appui des opérations pour t'engager au sein des services RH, immobiliers, logistiques et financiers et garantir la réussite des missions des unités de gendarmerie au quotidien. L’officier de l’appui opérationnel est un officier investi de belles responsabilités, au contact des grands chefs et proche du terrain. ***Les inscriptions aux concours sont ouvertes jusqu’au 10 janvier***  Pour t’inscrire au concours adapté à ton profil, retrouve toutes les informations sur lagendarmerierecrute.fr

  • Recrutement

    Deviens officier en appui des opérations !

    Tu prépares un diplôme BAC + 5 ou tu l’as déjà obtenu ? Deviens officier au sein de la gendarmerie ! Devenir officier de l’appui opérationnel, c’est être un officier investi de belles responsabilités, au contact des grands chefs et proche du terrain.  C’est aussi : garantir la réussite des missions au quotidien et en situation de crise commander les services RH, logistiques, financiers et immobiliers participer à la manœuvre opérationnelle Tu bénéficies d’une formation de haut niveau, passionnante et rémunérée, à l’académie militaire de la gendarmerie nationale pendant 2 ans. Intéressé(e) pour nous rejoindre ? Découvre le métier et le concours d’officier en appui des opérations (OCTA) sur lagendarmerierecrute.fr